Livia, qui es-tu derrière cette voix douce qui fait craquer les hommes au bout du fil ?
Je m’appelle Livia, j’ai 30 ans, je suis une petite blonde aux yeux bleus, mince, avec une poitrine discrète mais un charme qui fait souvent rougir les plus timides. On me prend souvent pour la fille sage d’à côté, celle qui habite seule dans son appartement cosy à Montpellier, avec ses plantes, ses bougies et ses livres éparpillés partout. Mais derrière cette image douce, il y a une femme très sensuelle, joueuse, attentive, qui adore écouter, rassurer, provoquer un peu aussi. Je ne force jamais, je caresse les esprits avant le reste, j’aime quand les hommes se sentent compris, désirés, en confiance. Ma voix est mon plus bel atout : chaleureuse, posée, avec ce petit sourire qu’on entend sans me voir. Quand ils appellent, ils sentent tout de suite qu’ils peuvent se confier, se lâcher, fantasmer avec moi sans jugement, comme si on se connaissait déjà.
Comment une fille de Languedoc-Roussillon en BTS communication a fini dans l’univers du téléphone rose ?
J’ai grandi dans une petite ville du Languedoc-Roussillon, dans une ambiance simple et tranquille. Après un BTS communication, j’ai travaillé dans le marketing, des open spaces, des deadlines, des réunions où tout le monde joue un rôle. Ça m’a beaucoup appris, mais je m’y sentais enfermée. J’ai toujours adoré le contact humain, les échanges tardifs, les confidences… Un jour, presque par hasard, j’ai découvert le monde des lignes sensuelles. L’idée de pouvoir parler librement, créer un lien intime avec quelqu’un à distance, sans masque, m’a fascinée. Alors j’ai testé. Et j’ai rapidement compris que je pouvais être bien plus moi-même ici que dans un bureau. Aujourd’hui, je suis hôtesse de téléphone rose à plein temps, et je me sens enfin alignée avec ce que je suis : libre, authentique, proche des gens, et assumée dans ma sensualité.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ces échanges intimes au téléphone ?
Ce que j’aime, c’est cette alchimie qui se crée dans le noir d’une chambre, entre une voix et une imagination. Je suis très ouverte d’esprit, j’adore entendre les envies, les doutes, les scénarios qui trottent dans la tête des hommes. Je ne suis pas là pour juger, je suis là pour les guider, les apaiser, les exciter parfois, mais toujours dans une ambiance bienveillante. J’adore quand un homme timide finit par se détendre avec moi, quand il ose dire ce qu’il n’a jamais dit à personne. Je peux être tendre, taquine, plus audacieuse aussi, mais toujours avec élégance. Pour moi, le plaisir commence dans le mental : un mot, un silence, un souffle au bon moment, et tout bascule. Beaucoup d’hommes m’ont d’ailleurs trouvée en cherchant un numéro rose discret, puis sont restés accro à nos petits rendez-vous secrets.
Raconte-nous cette rencontre inattendue dans un café avec ce fameux homme timide…
C’était un après-midi à Montpellier, en terrasse, un café comme un autre. Je l’ai remarqué tout de suite : regard fuyant, mains un peu crispées sur sa tasse, l’air de quelqu’un qui n’ose pas. Nos regards se croisent, il détourne les yeux. Je souris. Quand il renverse un peu de son café en cherchant son portefeuille, je lui lance une petite blague pour détendre l’atmosphère. On commence à parler. Il finit par me confier qu’il me trouve intimidante. Alors je baisse un peu la voix, je le regarde droit dans les yeux, et je lui dis que c’est justement ce côté réservé qui me plaît. La suite, c’est une balade, un verre, des confidences, une tension qui monte très doucement… jusqu’à ce qu’il me dise qu’il n’a jamais passé une nuit avec une femme qui le mettait autant en confiance. Ce soir-là, je lui ai montré qu’un contact délicat, une main posée au bon endroit, un baiser assumé, peuvent changer complètement l’image qu’on a de soi. Il est reparti différent. Moi, j’adore quand un homme se découvre à travers moi.
Et cette soirée entre amies qui a dérapé en révélations et en flirts mémorables ?
On était entre copines, chez moi, ambiance douce, musique, vin, rires. À un moment, quelqu’un propose un jeu de vérités. Au début, c’est innocent, puis les questions se font plus audacieuses. On parle de nos fantasmes, de nos expériences, de ce qu’on n’oserait jamais dire en public. Je réalise que je suis probablement la plus assumée du groupe, celle qui assume d’aimer séduire, d’aimer les discussions sensuelles, d’avoir choisi ce métier par choix et non par hasard. On finit par inviter deux amis à nous rejoindre, l’atmosphère devient très électrique, beaucoup de regards, de frôlements, de chuchotements. Ce que je retiens de cette soirée, c’est à quel point la parole libérée peut rendre tout le monde plus vivant. Pas besoin d’en faire trop : un jeu, des confidences, et déjà chacun se met à fantasmer. C’est un peu ce que je recrée au téléphone rose : ce terrain de jeu où l’on peut tout dire sans peur.
Peux-tu nous parler de ton grand fantasme d’hôtel en bord de mer avec un inconnu ?
Mon fantasme, c’est simple et précis : un hôtel en bord de mer, une chambre avec vue, les fenêtres entrouvertes, le bruit des vagues, la nuit qui tombe. Je croise un homme que je ne connais pas, mais avec qui le regard accroche immédiatement. On se retrouve au bar, on discute, on sent tout de suite cette connexion rare. Rien de brutal, tout est dans la montée : les sourires, les confidences, les mains qui se rapprochent. Puis cette sensation d’être hors du monde, hors du temps, juste lui et moi, libres de nous découvrir sans passé ni futur, juste le présent. J’aime l’idée d’explorer chaque geste, chaque émotion, comme si chaque seconde comptait. Ce fantasme, je le raconte souvent au téléphone, et certains hommes aiment s’y projeter avec moi, imaginer qu’ils sont celui qui monte avec moi dans cet ascenseur qui donne sur la mer.
Comment se passent tes nuits en tant qu’hôtesse sur une ligne chaude comme Appelhot ?
Mes nuits sont rythmées par des voix différentes, des histoires intimes, des envies parfois timides, parfois plus audacieuses. Certains m’appellent après une longue journée pour juste parler et sentir une présence féminine douce. D’autres veulent jouer, se laisser guider dans un scénario sensuel et raffiné. Je mets un point d’honneur à rester authentique : je ris vraiment, je réagis vraiment, j’écoute tout. Je ne récite pas un texte, je crée le moment avec celui qui est au bout du fil. Des hommes me disent qu’ils ne parlent comme ça à personne d’autre. Ça me touche et ça m’excite à ma manière. Ici, je mélange mon côté tendre, mon côté joueuse, et mon expérience pour que chaque appel soit unique. Si tu cherches une blonde sexy qui sait te mettre à l’aise sans jamais te juger, tu risques de vite devenir accro à nos rendez-vous nocturnes.
Quelle est ta vision du plaisir et de ton avenir dans ce métier ?
Pour moi, le plaisir, ce n’est pas juste un moment vite consommé. C’est tout ce qui se passe avant : la confiance, la curiosité, le jeu, la liberté d’oser dire “j’ai envie de ça”. Je crois profondément qu’un homme qui se sent écouté et respecté est beaucoup plus réceptif, plus intense, plus vrai. Tant que je peux offrir ça, je resterai dans cet univers. Je me vois continuer à affiner mon approche, à créer encore plus de rendez-vous privilégiés avec ceux qui ont besoin d’une voix comme la mienne dans leurs nuits. Je veux rester cette femme qui fait du bien, qui excite, qui rassure, qui inspire des fantasmes mais aussi un certain apaisement. Et tant qu’il y aura des hommes pour composer mon téléphone et me murmurer “Livia, tu me manquais”, je saurai que je suis exactement à ma place.
Un dernier mot pour celui qui hésite encore à t’appeler ?
Si tu te reconnais dans ces hommes qui regardent leur écran en se demandant s’ils doivent franchir le pas, sache une chose : avec moi, tu ne seras jamais ridicule. Tu peux être timide, maladroit, direct, silencieux au début, je m’adapte à toi. Laisse-moi t’emmener dans mon univers, celui de Montpellier by night, des cafés, des chambres éclairées à la bougie et des confidences à voix basse. Compose, pose-toi, ferme les yeux, et laisse ma voix faire le reste. Tu verras, le plus dangereux avec moi… c’est d’avoir envie de recommencer.
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